7 Janvier - Ephéméride

Publié le par le chaponoir





JEUDI 7 JANVIER

EPHEMERIDE

 

CALENDRIER GREGORIEN

4e Jour de l’année 2010

4e Jour de la 1e semaine comptable

 

CALENDRIER REPUBLICAIN

XVII nivôse an MMX, 11e décade

Jour de la « Pierre à chaux »

 

CALENDRIER SARKOZIEN

Nicolas 1er

 Jour des « Grandes Ecoles »

Son règne : De polémique en polémique !

(voir articles de l'expansion en fin d'éphéméride) 

CALENDRIER BUGISTE/VALROMEYSAN

« Propreté, déneigement »

Capitale du Bugey, que font tout ces militants embauchés : travail ou propagande ?

(Interview d'une Belleysane par Le Progrés)
Les nouveaux slogans Belleysans :
"Nain bon à rien" "Stabilo au boulot"... 

ASTROLOGIE :

Signe zodiacal du CAPRICORNE

2e décan, 17e Jour du signe

 

CELEBRATIONS :

FETE DE NOËL ORTHODOXE ou Noël Russe (25 décembre selon le calendrier Julien, depuis 1901 jusqu’en 2100


Cathedrale-A--Nevski-Paris-.jpg
Cathédrale Saint Alexandre Nevsky à Paris

FÊTE de la QUENOUILLE  ou Saint Distaff’s Day en Angleterre


Sainte Marguerite et Olibrius.jpg
La fête des Fiélous
En Provence Lei fieloua (les fileuses sont à l’honneur) retour de la lumière

Au XIXe siècle, le temps du Carême était coupé par une mascarade, la fête des «fiélous», véritable bacchanale où chacun se travestissait et où la gauloiserie était élevée au niveau d’un art.

Un journal de l'époque donne un compte-rendu de cette manifestation :

« Rien de plus gai et d'amusant comme cette longue file de personnes, originalement costumée selon la mode du bon vieux temps, se livrant en cadence à des pas de la plus primitive des chorégraphies et toutes porteuses de quenouilles lumineuses, toutes chantant des couplets en langue provençale que le chœur reprend en se livrant à des avant-doux de recul... Cette joyeuse mascarade n'a que le tort de se produire en Carême ».

Les femmes sont revêtues d'un ample jupon blanc brodé ou garni de dentelles, parsemé d'étoiles, de lunes, d'ornements dorés ou argentés. Les hommes portent la veste noires décorées d'or et d'argent avec un col en dentelles. Leur chapeau blanc est recouvert de mousseline, garni de fleurs, de fruits, de rubans et autres colifichets[.

Tous les participants chantent la chanson des «fiélous» :

Lei fieloua, lei cascavèu
Ei tout ça qu'aven de pus bèu
La candello que ia deduns
Esclara nostre camin
Ses amouçavo anarie mau
Tant voudrie jita lou fanau

Cette manifestation a été ponctuellement reprise il y a quelques décennies.
(voir Saint Martin de Castillon)Armoiries
St Martin de Castillon
Saint Martin de Castillon, et son blason

ITALIE : FÊTE du DRAPEAU (Festa del Tricolore)

 


JAPON :
 NANAKUSA-NO-SEKKU (Fête des sept herbes), très ancienne coutume japonaise qui consiste à manger un kayu aux sept-herbes (
七草粥, nanakusa-gayu)

 

Les nanakusa (bon appétit)

DICTONS :

« S’il gèle à la Saint Raymond, l’hiver est encore long »

« A la Sainte Mélanie, la pluie je n’en veux mie »

 

MEDITONS :

« Qui mange seul, s’étrangle seul » Proverbe arabe

« L’éloge des absents se fait sans flatterie » Gresset

 

BONNE FÊTE aux :

Calendrier civil 2010 : Raymond

Aussi

Aymon, Aymone, Raimond, Ramon, Ramoun, Ramuncho, Ramuntcho, Ray Raymonde

Aldric, Aldéric, Aldred, Audric

Cédric

Tillon et Théau

Virginie, Verge, Virginia, Virginien, Virginix

Athanase (d’Attalie », Crispin Knud (Lavard), Lindalva (Justo de Oliveira), Louis (de Blois), Lucien (d’Antioche), Reynold, Yvoine

 

RAYMOND le prénom :

Etymologie germanique : « rad » conseil et « mundo » protection

Formé à partir des substantifs germaniques ragin le conseil et mundo la protection. Raymond signifie en quelque sorte « l’home de bon conseil »

Le prénom Raymond vient du prénom germanique Raginmund

 

CHIFFRES du JOUR 07/01/2010

358 jours avant 2011

860 jours (fin du quinquennat de Nicolas 1er)

966 jours de pouvoir absolu


 Valerie Pecresse Mutualite 2007 12 07.jpg

Valérie ne chante pas "la sucette à l'anis"
Michel Kalika " élitisme ou non, bcbg ou zonard ?"
Alors que Valérie Pécresse fixe aux Grandes écoles un objectif chiffré de 30% d'élèves boursiers en leur sein, la Conférence des grandes écoles (CGE) indique en retour qu'elle désapprouve la notion de « quotas ». Faut-il faire évoluer le recrutement des grandes écoles ? Notre dossier complet.

22,9%, c'est le nombre d'élèves boursiers que comptent les grandes écoles à ce jour. Un chiffre jugé insuffisant par la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Valérie Pécresse, qui souhaite porter à 30% le nombre d'étudiants boursiers dans les grandes écoles françaises.

L'objectif chiffré fixé par le gouvernement n'est pas du goût de toutes grandes écoles, qui désapprouvent largement la notion de « quotas ». Privilégiant les programmes d'aide aux élèves des milieux défavorisés pour se préparer à passer les concours ordinaires, la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) - qui regroupe 221 d'entre elles - explique que « toute autre politique amènerait inévitablement à la baisse du niveau moyen ».

Une vision que partagent en grande partie les étudiants de l'ESCP Europe qui voient d'un bon oeil une certaine mixité sociale... à condition qu'elle ne passe pas par un quota. Le seuil de 30% paraît aussi "un petit peu beaucoup" aux yeux de certains. Voir le micro-trottoir ci dessous.


 

"Les grandes écoles doivent s'ouvrir à la diversité sociale"
Propos recueillis par Gilles Lockhart -  05/01/2010 17:06:00 
 

Alors que la polémique fait rage sur les quotas de boursiers dans les grandes écoles, Michel Kalika, directeur de l'Ecole de Management de Strasbourg, affirme ne pas être "choqué que des objectifs chiffrés soient fixés". Une position qui tranche avec celle de la Conférence des grandes écoles. Interview.

Seule grande école de commerce dépendant d'une université (l'Université Robert Schumann), et pratiquant de ce fait des tarifs de scolarité moins élevés que la moyenne (5600 euros par an contre couramment 7800 euros), l'EM Strasbourg compte aujourd'hui près de 25% de boursiers dans ses promotions. Et son directeur, Michel Kalika, s'en félicite.

Votre position sur les quotas de boursiers dans les grandes écoles ?

Le mot « quota » est peut-être un peu violent, mais je ne suis pas particulièrement choqué que des objectifs chiffrés soient fixés par le gouvernement. Les grandes écoles doivent s'ouvrir à la diversité sociale. La société française est diverse et la composition de l'encadrement des entreprises doit refléter cette diversité. Il y va de la crédibilité future des grandes écoles. En aucun cas, l'augmentation du pourcentage d'étudiants boursiers n'est susceptible de provoquer une baisse de niveau du diplôme.

On constate pourtant que les écoles ayant un fort pourcentage d'étudiants boursiers sont mal placées dans les classements...

Eh bien, c'est peut-être l'occasion de s'interroger sur les classements ! Pour notre part, nous sommes en progression dans ces fameux classements alors que nous approchons des 25% d'étudiants boursiers et que nous multiplions les voies d'accès parallèles, en complément à la filière classe préparatoire qui reste la voie d'accès majeure. Exemples : notre partenariat avec un IUP pour créer un parcours d'accès vers l'école de management ou encore une filière de classe préparatoire en trois ans pour les bacheliers professionnels.

Vos diplômés boursiers sont-ils défavorisés sur le marché du travail ?

Evidemment, non ! Les entreprises ne savent même pas quelle est leur origine sociale, la filière ou le moyen d'accès qu'ils ont suivis. On est là dans le registre du fantasme. Les boursiers sortent de l'école, ils s'insèrent et deviennent des cadres. Point final.

Publié dans ACTUALITE

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