ECHOS divers : Le Corse, l'Africaine et le Cochon

Publié le par le chaponoir


QUELQUES ECHOS QUI NOUS AMENENT A DIRE QUE TOUT N'EST PAS BLEU MAIS PLUTOT GRIS, sans aucun racisme :Le CORSE, l'AFRICAINE et le COCHON nous gachent la vie, mais nous montre la voie
GROGNONS le plus fort possible
NOUS AVONS OMIS D'INDIQUER : Si vous acceptez de vous faire vacciner, vous devez signer une décharge ! POURQUOI ? Pas sûre les labos....

NOUVELOBS.COM | 07.11.2009 | 12:38

 

L'ancien ministre de l'Intérieur affirme qu'il a "des preuves matérielles" de ce que Jacques Chirac et Dominique de Villepin "étaient parfaitement au courant" de l'utilisation des fonds secrets de l'Elysée pour faire libérer des pilotes français en Bosnie.

Charles Pasqua (Sipa)

Charles Pasqua (Sipa)

Depuis qu'il a été condamné à un an de prison ferme dans l'affaire de l'Angolagate, Charles Pasqua est parti en guerre. Samedi 7 novembre, c'est à Jacques Chirac et Dominique de Villepin que l'ancien ministre de l'Intérieur s'en prend, dans les colonnes du Journal du Dimanche. Il affirme qu'il produira jeudi "des preuves matérielles" de ce que Jacques Chirac et Dominique de Villepin "étaient parfaitement au courant" de l'utilisation des fonds secrets de l'Elysée pour faire libérer des pilotes français en Bosnie.


"Je vais lui rafraîchir la mémoire"


Charles Pasqua avait affirmé, pendant le procès de l'Angolagate en novembre 2008, que, sur ordre du président Jacques Chirac, le secrétaire général de l'Elysée Dominique de Villepin avait prélevé 900.000 francs sur les fonds secrets de l'Elysée en 1995 pour financer la libération des deux pilotes détenus en Bosnie, laquelle s'était faite avec l'aide de l'homme d'affaires russe Arcadi Gaydamak.
Jacques Chirac a récemment déclaré ne pas s'en souvenir. "Je vais lui rafraîchir la mémoire", promet Charles Pasqua dans l'entretien au JDD. "J'organise jeudi une conférence de presse au cours de laquelle je vais faire des révélations. Des preuves seront apportées que l'Elysée et Dominique de Villepin étaient parfaitement au courant. Ils ne pourront plus prétendre le contraire. J'ai des preuves matérielles de ce que j'avance", assure-t-il.
Il affirme également, sans plus de précisions, que l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin "avait planifié le renversement de deux chefs d'Etat africains" mais qu'ils "n'ont pas eu lieu".


Pour une commission du secret-défense


L'ancien ministre de l'Intérieur a par ailleurs écrit à tous les parlementaires pour leur proposer "de créer une commission d'enquête permanente ayant accès à tous les documents financiers concernant les ventes de matériels sensibles couverts par le secret-défense", selon le JDD.
Charles Pasqua estime que "des escrocs s'abritent derrière l'intérêt national et le secret-défense pour faire leurs propres affaires" et que les fonds des commissions soi-disant partis à l'étranger "reviennent ensuite en France, via ces escrocs". Il évoque "une douzaine de personnes, en France, qui font croire qu'elles agissent pour des politiques, mais qui ont fait des fortunes considérables. Ou qui ont pu enrichir certains".
(Nouvelobs.com avec AP)

 

 

POLEMIQUE

Droit à l'image : Rama Yade attend l'avis du Sénat

 

NOUVELOBS.COM | 07.11.2009 | 08:53

La secrétaire d'Etat aux Sports, au centre d'une polémique pour s'être désolidarisée du gouvernement, a affirmé : "On verra ce qui se passe au Sénat, le débat n'est pas encore achevé".

Rama Yade (AFP)

Rama Yade (AFP)

La secrétaire d'Etat aux Sports Rama Yade, mise en cause pour s'être désolidarisée de la ligne gouvernementale sur le droit à l'image collective (DIC), a affirmé, vendredi 7 novembre, que le "débat n'est pas encore achevé".
"On verra ce qui se passe au Sénat, le débat n'est pas encore achevé", a déclaré Rama Yade, en allusion à l'amendement voté à l'Assemblé nationale sur la suppression d'exonérations fiscales pour le sport professionnel, un texte qu'elle avait désapprouvée malgré l'arbitrage favorable du gouvernement.
Rama Yade veut-elle ainsi signifier qu'elle ne rend pas les armes ? Non, assure son cabinet, qui a contacté Nouvelobs.com vendredi soir pour préciser qu'elle évoquait seulement le débat "parlementaire".
Sur un siège éjectable, la secrétaire d'Etat marche sur des oeufs. Pressée de questions lors d'une conférence de presse consacrée au dossier des "grandes salles" de sport organisé à son ministère, Rama Yade a décliné tout commentaire sur
les rappels à l'ordre lancés par Nicolas Sarkozy et
François Fillon. "Pas aujourd'hui", a-t-elle dit.


"Ma présence trop encombrante"


La commission des Affaires sociales du Sénat a adopté mercredi un amendement au projet de budget de la Sécu reportant de six mois la suppression de l'avantage fiscal des sportifs professionnels, dispositif dit du Droit à l'image collective (DIC).
"Je ne veux pas gêner le thème du jour par ma présence trop encombrante", a esquivé Rama Yade, qui affichait un large sourire devant l'affluence des caméras et des micros. "Maintenant, excusez-moi, mais je vais à l'Elysée", a-t-elle lancé, avant de se rendre au conseil interministériel de l'outremer.
La secrétaire d'Etat, élue des Hauts-de-Seine, n'a pas davantage commenté les critiques sur sa réticence à se présenter dans le Val-d'Oise
pour les régionales en Ile-de-France.
"Mme Yade ne veut pas faire de déclaration sur toutes ces polémiques", a-t-on confié à l'AFP dans son entourage, en précisant que cette dernière n'avait "pour l'instant reçu aucune proposition concrète pour les régionales".

(Nouvelobs.com avec AFP)

 

 

 

H1N1 : nouvelle augmentation des cas, mais sans gravité

Pour la deuxième semaine consécutive, le nombre de cas de grippe clinique (1), publié par le réseau Sentinelles, INSERM, UPMC, est en forte augmentation. Au niveau national, pour la semaine qui vient de s’écouler, le réseau estime à 323 le nombre de cas pour 100 000 habitants, contre 216 la semaine précédente. Pour cette semaine de l’année, le seuil épidémique (2) est de 128 cas pour 100 000 habitants.
Treize régions (3) ont dépassé le seuil épidémique contre huit la semaine passée. L’Ile-de-France est largement la plus touchée avec 607 cas pour 100 000 habitants, contre 450 lors de la précédente publication.

Si le nombre de cas augment

e, la gravité n’est toujours pas au rendez-vous, d’après le communiqué du réseau : « Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité (aucune hospitalisation rapportée) ». La semaine précédente, le réseau faisait état d’un taux d’hospitalisation des cas rapportés inférieur à 1,5 %.
Michel Sage
Schéma © réseau Sentinelles, INSERM, UPMC
1- Fièvre supérieure à 39°C, d'apparition brutale, accompagnée de myalgies et de signes respiratoires (grippe saisonnière et grippe H1N1).
2- Le seuil est obtenu par un modèle de régression périodique appliqué aux observations passées dit « Serpent de Serfling ».
3- Parmi ces treize régions, les plus touchées sont : Ile-de-France (607 cas pour 100 000), Champagne-Ardenne (411), Centre (358), Haute-Normandie (302), Pays-de-la-Loire (272), Nord-Pas-de-Calais (216), et Limousin (204).

 

Publié dans ECHOS DIVERS

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